Cet article du Monde est le fruit d’une enquête de terrain sur les plantations de Mbongo, Mbambou, Dibombari et Kienké, détenus par l’entreprise SOCAPALM au Cameroun.
Déforestation, accaparement de terres, rudes conditions de travail, logements sommaires : accusée de tous les maux, la Société camerounaise des palmeraies (Socapalm) n’a pas bonne presse. Filiale de la Société financière des caoutchoucs (Socfin) basée au Luxembourg, détenue à un peu plus de 50 % par le belge Hubert Fabri et à près de 39 % par le groupe de Vincent Bolloré, elle est dans le collimateur de plusieurs ONG et associations de riverains.
Sa direction a décidé qu’il était temps d’amorcer un changement. Elle se fait conseiller par l’ONG The Forest Trust pour y parvenir, et a ouvert ses portes au Monde en gage de bonne volonté. C’est une première.
Lire l’article sur le site du Monde ici.
Source : 6ème numéro du Magazine Trait d’Union, Magazine des riverains de la Socapalm
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