Comment améliorer l’engagement des paysans, des collectivités locales et des services techniques en faveur d’une exploitation plus intensive et durable des ressources naturelles, là où l’État a réalisé des investissements productifs (aménagement hydroagricole, pastoral, forestier, etc.) qui doivent être rentabilisés ? Une définition contractuelle et décentralisée des conditions de mise en valeur acceptables peut être un moyen d’y parvenir.
Cette fiche s’inspire de l’expérience de la Charte du domaine irrigué, développée à la fin des années 1990 avec l’appui de l’AFD dans la vallée du fleuve Sénégal. Elle explique tout d’abord l’intérêt de définir de façon concertée les conditions de mise en valeur des terres aménagées. Elle expose ensuite le contenu d’une charte concertée de mise en valeur, puis explique comment une telle charte peut être mise en place.
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