Les catégories du droit « moderne » rendent souvent compte d’une manière très imparfaite de la complexité du réel. Pire, elles entraînent parfois des modifications en profondeur des rapports sociaux et économiques : en ne sécurisant qu’un seul ayant droit, la remise d’un titre de propriété (pleine ou absolue) revient à nier l’existence des droits des autres ayants droit. Les trois exemples brièvement développés ici invitent à penser la terre comme étant toujours, d’une façon ou d’une autre, à la fois commune et privée, à nous interroger sur la nature des différents acteurs, individuels et collectifs, et à les voir comme de possibles ayants droit, pouvant être ou non reconnus.
à la lettre d’info
archives
Agenda
du 18/02/2025Troisième Conférence Arabe sur le foncier
au 20/02/2025 du 06/04/2025Appel à communication des Journées doctorales foncier
au 10/04/2025
Rejoignez-nous sur
LinkedIn X Facebook