Cet article s’inscrit dans l’effort de synthèse et de réflexion collective organisées par AGTER à partir des études réalisées au Guatemala et au Cameroun sur la gouvernance des forêts et les droits des populations des territoires forestiers.
Le document traite de la reconnaissance légale, ou de l’absence de reconnaissance, par l’État des droits collectifs sur la terre et sur les ressources naturelles des populations indigènes et des communautés rurales en partant d’une analyse comparée des deux pays.
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