Si le désintérêt des jeunes pour l’agriculture est certainement un « fait », l’auteur de cette note invite à ne pas le prendre comme une donnée établie mais à chercher les raisons pouvant expliquer ce faible intérêt. Il insiste en particulier sur la difficulté d’accès de jeunes ruraux de plus en plus éduqués à la terre, dans un contexte marqué notamment par des structures locales donnant majoritairement le contrôle des terres aux générations aînées et par une concentration et un accaparement des terres croissants.
Source : Inter – Réseaux
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