Auparavant relativement prospère, la Côte d’Ivoire connait aujourd’hui une situation de stabilisation après avoir subi des crises successives en 2002 et 2010. Deux vagues de conflits armés et de violence notamment la crise militaro politique de 2002 et la crise post-électorale de 2010, ont entrainé des mouvements massifs de population, déplaçant près d’un million de personnes à chaque fois.
De nombreux observateurs considèrent que les conflits fonciers récurrents, en particulier dans l’Ouest, zone forestière fertile du pays, constituent les principaux vecteurs de déplacement et de tension dans la zone. Les questions relatives à la propriété foncière sont au cœur de notions d’appartenance et d’identité. La terre est plus qu’un moyen de subsistance en Côte d’Ivoire parce qu’elle a également une signification économique, culturelle, sociale et religieuse considérable.
Cette étude vise à identifier les défis auxquels les femmes déplacées et rapatriées vivant dans l’Ouest ivoirien sont confrontées dans l’exercice de leurs droits LTB, principalement en milieu rural.
L’étude est également disponible en anglais.
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