Au Niger, les difficultés à utiliser le foncier comme garantie pour un prêt sont souvent citées comme un obstacle pour accéder au crédit. Différentes questions se posent en effet :
1) Dans quelle mesure, le foncier peut-il servir à garantir le crédit accordé par les institutions de financement ?
2) Le coût des actes est-il abordable, aussi bien par rapport à la valeur du terrain qu’au montant du prêt accordé ?
3) Les services permettant la reconnaissance d’un droit foncier sont-ils accessibles ?
Cette note fait le point sur ces différentes problématiques.
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